Diane Lavallée

bande-brune

Série : Les Militantes / Les Militants
Durée : 2 segments de 27 minutes chacun
Qualité vidéo : 720p
Suppléments additionnels : 8
Date du tournage : Le 15 avril 2015
Lieu : Québec

 
Diane Lavallée
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Présidente de la F.I.I.Q (ancienne appellation de l’actuelle FIQ) jusqu’en 1993, Diane Lavallée est co-signataire d’une des plus belles pages de l’histoire syndicale du Québec. Combattante sur le front des injustices sociales, elle a cumulé par la suite des postes aussi stratégiques que présidente du Conseil du statut de la femme, curatrice publique et D.G. de l’AQESSS, organisme du réseau de la santé récemment fermé par le ministre Barrette.
 

Pour accéder à la partie 1 de l’émission, cliquez sur l’image ci-haut

Pour accéder à la partie 2 de l’émission, cliquez sur l’image ci-haut

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Compléments à l’émission

Supplément 1 : Barrette liquide l’AQESSS (cliquez sur la vignette).
Supplément 2 : Barrette : la croisade d’un solitaire (cliquez sur la vignette).
Supplément 3 : Les infirmières quittent la CSN (cliquez sur la vignette).
Supplément 4 : Présidente du Conseil du statut de la femme (cliquez sur la vignette).
Supplément 5 : La F.I.I.Q. et l’international (cliquez sur la vignette).
Supplément 6 : Vers une centrale syndicale de la santé (cliquez sur la vignette).
Supplément 7 : Pour empêcher la catastrophe (cliquez sur la vignette).
Supplément 8 : Curatrice publique (cliquez sur la vignette).
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Le parcours d’une combattante sur le front des injustices

Un des plus beaux cas de solidarité syndicale en Occident a été réalisé au Québec par des infirmières membres de la F.I.I.Q. aux lendemains de la grève de 1989. Cette manifestation exemplaire avait été orchestrée en bonne partie par Diane Lavallée, une leader au charisme certain qui présidait aux destinées de la toute jeune fédération.

Jeune infirmière fonceuse, elle avait d’abord dirigé son propre syndicat, celui de l’Hôtel-Dieu de Montréal, puis avait continué avec sa fédération la FIIQ, ce qui l’avait amenée à organiser une fusion avec les deux autres grandes fédérations d’infirmières, la FSPIIQ et la FSII.

Pourtant, en 1993, Diane Lavallée, quitte la profession, séduite par la politique. Elle s’attaque à une forteresse libérale, mais perd par une poignée de votes. Elle devient alors cadre supérieure dans l’appareil administratif québécois. On la retrouve ainsi à la condition féminine, aux Affaires municipales, puis numéro un au Conseil du statut de la femme, à la Curatelle publique et à l’Association québécoise des établissements de santé et de services sociaux, organisme éliminé tôt en 2015 par le régime Couillard.

Sa prochaine étape ? Elle se garde bien d’en parler, mais on peut d’ores et déjà affirmer qu’il y sera question de justice sociale.

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