André Laplante, FTQ
Bien avant qu’il ne devienne directeur de l’information chez les Métallos, André Laplante avait pu développer ses talents naturels de communicateur auprès des ruraux des hauts pays de Rimouski-Amqui-Matane. Ces citoyens, regroupés sous les bannières d’Opération Dignité I et II, lui avaient permis de comprendre l’importance fondamentale du respect dont tout militant devait faire preuve auprès des gens. Effectivement, sans respect, personne n’arrive à faire vraiment partie d’une organisation. Et cela fut la marque de commerce d’André Laplante à la FTQ, chez les Cols Blancs de Montréal, chez les Menuisiers-charpentiers (Section locale 9) et chez les Métallos. Bon visionnement. (Note: Les vidéos qui suivent se retrouvent également sur notre chaîne YouTube dont le lien est : « https://www.youtube.com/channel/UCdIV4N91zio-v9eYhW6xngw/featured?view_as=public »).
Compléments à l’émission, des documents de courte durée.
André Laplante, communicateur qui sait écouter, homme respectueux qui sait parler.
André Laplante, homme de culture et de convictions progressistes, a cheminé toute sa vie dans la militance populaire, en y faisant preuve d’un respect tout à fait remarquable. Que ce soit auprès de ruraux luttant contre la tranquille dépossession, ou auprès de travailleurs syndiqués, il a réussi à y mettre en place des mécanismes d’information autonomes et viables.
Les années 80 l’ont amené à Montréal où il a découvert la FTQ et sa structure. Il y est devenu un apôtre de l’information syndicale, notamment auprès des Cols blancs de la Ville de Montréal et du syndicat des charpentiers-menuisiers.
Mais l’essentiel de sa carrière de communicateur, il l’a passée chez les Métallos du Québec où il est devenu directeur de l’information. Il y a bâti une structure encore bien vivante aujourd’hui, soit un réseau pan-québécois de correspondants fournissant des contenus pour les publications du grand syndicat et pour celles des instances locales.
Son tour de jardin complété, André Laplante est passé à l’institut de recherche en économie contemporaine, l’IREC, un organisme progressiste fondé par Jacques Parizeau, où il a assumé là aussi, la responsabilité des communications.
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