André Laplante

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Série : Les Militantes / Les Militants
Durée : 2 segments de 27 minutes chacun
vidéo : 1080p
Suppléments additionnels : 9
Date du tournage : 21 décembre 2017
Lieu : Montréal

 
André Laplante
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Bien avant qu’il ne devienne directeur de l’information chez les Métallos, André Laplante avait pu développer ses talents naturels de communicateur auprès des ruraux des hauts pays de Rimouski-Amqui-Matane. Ces citoyens, regroupés sous les bannières d’Opération Dignité I et II, lui avaient permis de comprendre l’importance fondamentale du respect dont tout militant devait faire preuve auprès des gens.

Effectivement, sans respect, personne n’arrive à faire vraiment partie d’une organisation. Et cela fut la marque de commerce d’André Laplante à la FTQ, chez les Cols Blancs de Montréal, chez les Menuisiers-charpentiers (Section locale 9) et chez les Métallos.

Bon visionnement.

Pour accéder à la partie 1 de l’émission, cliquez sur l’image ci-haut

Pour accéder à la partie 2 de l’émission, cliquez sur l’image ci-haut

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Compléments à l’émission

Supplément 1 : Les Opérations Dignité du temps de Pierre Dufort (cliquez sur la vignette).
Supplément 2 : Travailler en information chez les Métallos (cliquez sur la vignette).
Supplément 3 : L’IREC (cliquez sur la vignette).
Supplément 4 : Bouleversement chez les Métallos (cliquez sur la vignette).
Supplément 5 : Faire avancer les choses, ici… (cliquez sur la vignette).
Supplément 6 : À la FTQ Construction (cliquez sur la vignette).
Supplément 7 : Les sociétés dites «sans écriture» (cliquez sur la vignette).
Supplément 8 : La consommation culturelle en milieu syndical (cliquez sur la vignette).
Supplément 9 : Chez les Cols Blancs de la Ville de Montréal (cliquez sur la vignette).
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Communicateur qui sait écouter, homme respectueux qui sait parler.

André Laplante, homme de culture et de convictions progressistes, a cheminé toute sa vie dans la militance populaire, en y faisant preuve d’un respect tout à fait remarquable. Que ce soit auprès de ruraux luttant contre la tranquille dépossession, ou auprès de travailleurs syndiqués, il a réussi à y mettre en place des mécanismes d’information autonomes et viables.

Les années 80 l’ont amené à Montréal où il a découvert la FTQ et sa structure. Il y est devenu un apôtre de l’information syndicale, notamment auprès des Cols blancs de la Ville de Montréal et du syndicat des charpentiers-menuisiers.

Mais l’essentiel de sa carrière de communicateur, il l’a passée chez les Métallos du Québec où il est devenu directeur de l’information. Il y a bâti une structure encore bien vivante aujourd’hui, soit un réseau pan-québécois de correspondants fournissant des contenus pour les publications du grand syndicat et pour celles des instances locales.

Son tour de jardin complété, André Laplante est passé à l’institut de recherche en économie contemporaine, l’IREC, un organisme progressiste fondé par Jacques Parizeau, où il a assumé là aussi, la responsabilité des communications.

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