Roger Valois, CSN
Roger Valois est un homme de terrain. Cela lui a permis de toujours faire valoir les idées du «Deuxième Front».
Compléments à l’émission, des documents de courte durée.
Capsules Flash (moins de deux minutes chacune):
Roger Valois, organisateur syndical et mobilisateur social
Il est généralement admis que Roger Valois, l’homme qui détient le record de longévité à la CSN en tant que vice-président, ne laisse personne indifférent. Conférencier apprécié et tribun redoutable, il n’a jamais pratiqué la langue de bois et n’a aucune intention de commencer.
Journalier à 16 ans, travailleur d’usine à 20, il se retrouve trésorier de son syndicat dans la jeune vingtaine et il s’implique au Conseil central de Sorel. Il découvre à ce moment «Le Deuxième front» de Marcel Pepin. Ses maîtres sont alors Michel Chartrand, Pierre Vadeboncoeur et André L’Heureux.
Témoin de la saga syndicale des années 70 sur fonds de scène «crise d’octobre», «Front Commun de 1972», etc., Roger Valois est d’une précision extrême quand vient le moment de raconter la crise des 3 D.
Tout au long de sa longue carrière comme vice-président de la CSN, ce qui lui a permis de servir loyalement sous trois présidents, il a été l’homme du terrain (loin des bureaux), celui des syndicats, incluant
les plus éloignés de Montréal et, surtout, celui de tous les conseils centraux, ce qui lui a permis de toujours faire valoir les idées du «Deuxième front».Tags: 3 D, André L’Heureux, André Laurin, Caisses d'économie, Claudette Carbonneau, Conseil central, CSD, CSN, Deuxième front, Fer et Titane, Gérald Larose, Jacques Létourneau, justice sociale, Louis Roy, Marcel Pepin, métallurgie, Michel Chartrand, mondialisation, Pierre Vadeboncoeur, QIT, Raymond Parent, Roger Valois, solidarité, Sorel, syndicat, Trois D, vice-président
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