Normand Caron, FTQ
Les deux parties de cette émission ont été légèrement modifiées le 24 mars 2015.
Compléments à l’émission, des documents de courte durée.
Capsules Flash (moins de deux minutes chacune):
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Un vrai travail de militant (cliquez sur la vignette). |
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Infiltration policière (cliquez sur la vignette). |
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Équipe idéale pour la formation (cliquez sur la vignette). |
Normand Caron, militant créatif, gestionnaire progressiste
Il y a consensus sur le fait que le Fonds de Solidarité de la FTQ est né grâce à Louis Laberge et à Jean-Guy Frenette. Tout comme il y a unanimité sur le fait que Fernand Daoust et Claude Blanchet y ont été essentiels. Mais, dans la distribution des médailles, il ne faudrait surtout pas oublier celui qui a tissé l’incroyable nasse logistique sans laquelle rien n’aurait été possible, Normand Caron.
Tour-à-tour prof de socio à l’UQAM, émule d’André Laurin dans le mouvement des ACEF, patron malheureux chez Québec Presse et D.G. de la Ligue des droits et libertés, il se retrouve à la FTQ comme responsable de la formation.
Puis il devient l’homme de la souscription et de la formation des intervenants sur le terrain, au tout nouveau Fonds de Solidarité. Pendant dix ans, les deux pieds bien ancrés sur le plancher des vaches, il alimentera la «patente à Laberge» et contribuera ainsi à en faire le succès que l’on connaît.
Quand il passera le flambeau, il s’en ira oeuvrer en développement économique au Sénégal.
Enfin, depuis son retour, on le retrouve au Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MEDAC) où il peut s’adonner à son dada préféré, la formation financière et économique, plaisir qu’il prodigue à satiété.
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