Victor Leroux
Série : Les Militantes / Les Militants |
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Président de son syndicat du SFPQ (à l’époque affilié à la CSN) et militant choc, Victor Leroux devient 1er VP du Conseil central de la CSN Montréal dans l’équipe de Michel Chartrand. Plus tard, il devient conseiller syndical à la CSN auprès de la FAS, de la FNEEQ et du secteur public.
Bon visionnement !
Compléments à l’émission
Aidant social jamais démobilisé
Embauché au Ministère de la Justice en 1964, Victor Leroux s’implique dans son instance syndicale comme délégué syndical, vice-président, puis président. Par la suite, il est élu délégué et premier vice-président au Conseil central de Montréal dans l’équipe de Michel Chartrand.
À la suite de la désaffiliation du S.F.P.Q. en 1972, Victor Leroux devient représentant régional de l’ensemble des syndicats S.F.P.Q. à Montréal. Mais il démissionne de la fonction publique en 1976 pour étudier le droit à l’U.Q.A.M.
Durant sa formation universitaire, Victor Leroux continue de s’impliquer à la CSN, notamment comme délégué dans un centre d’accueil pour toxicomanes et comme conseiller lors d’une négociation chez Québécair. Diplômé en Droit, il devient en 1982 conseiller syndical (lois sociales) au Conseil central de Montréal.
Six ans plus tard, il poursuit son engagement, cette fois à Québec comme conseiller syndical à la Fédération des affaires sociales (FAS), puis à la Fédération des enseignants (FNEEQ). Enfin, de 2000 à 2005, date de sa retraite, il s’occupe de mobilisation dans le secteur public. Aujourd’hui ? Victor Leroux se dit «bénévole en réserve de la République».
Dans le cas bien particulier de cette émission, une des premières que nous ayons tournées, nous avons commis deux erreurs. Manque d’expérience ? Mettons !
La première est de n’avoir pas osé manipuler davantage le mobilier, question de pouvoir présenter de meilleurs prises de vue. Cette maison est superbe et son aménagement très chaleureux. Malheureusement, nous n’avons pu faire passer cette réalité.
La seconde, c’est que nous ne nous sommes aperçus trop tard que le système de chauffage soufflait au maximum. C’était un bruit de fond qui, sur le coup, est passé inaperçu. Résultat, il y a eu un «hishhhhhhhhh» très difficile (pour ne pas dire impossible) à nettoyer complètement sur la piste audio du document. Bref, il se peut que vous ne trouviez pas le son de cette émission à votre goût. Désolé pour tout cela !
Heureusement, les propos de Victor Leroux nous font rapidement oublier ce contretemps.