Régine Laurent
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Série : Les Militantes / Les Militants |
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Photo : FIQ
Photo : Jacques Nadeau – Le Devoir
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Bon visionnement !
Compléments à l’émission
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Supplément 1 : Deux coups pendables (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 2 : «Avoir du fun» (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 3 : Des militants difficiles à arrêter (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 4 : Les «Carrés rouges» (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 5 : Une relève plus exigeante (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 6 : Le prix à payer (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 7 : La FIQ (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 8 : «Si j’avais une baguette magique !» (cliquez sur la vignette). |
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Supplément 9 : Le jeu des alliances (cliquez sur la vignette). |
Femme, mère, infirmière, syndicaliste et visionnaire
Depuis juin 2009, Régine Laurent, une infirmière qui n’aime pas la langue de bois, est présidente de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec, la FIQ.
Diplômée du Cégep du Vieux-Montréal en soins infirmiers, elle est embauchée à l’hôpital Santa Cabrini en 1980 et, au fil du temps, devient une militante syndicale convaincue.
Sa volonté de combattre l’injustice l’amène au comité exécutif de la FIIQ de 1991 à 2001, puis à la présidence de l’Alliance interprofessionnelle de Montréal (AIM), une constituante de la FIQ.
Son goût pour l’analyse socio-politique se peaufine en particulier au CISO (Centre international de solidarité ouvrière) où elle est nommée présidente de l’organisme.
On reconnaît à cette femme articulée une vision sociale et syndicale qui en font une interlocutrice de choix, une personne convaincante devant qui aucun groupe ne peut rester de glace.
Cela parce qu’étant «femme, mère et infirmière», elle ne peut s’empêcher de s’incarner dans toutes les luttes auxquelles son militantisme l’entraîne.
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