Monique Simard
Série : Les Militantes / Les Militants |
Tout le monde connaît Monique Simard. Les plus vieux l’ont vue évoluer à la CSN où son héritage féministe est évident encore aujourd’hui, les plus branchés l’ont connue comme ciné productrice à Virage, les plus jeunes l’ont remarquée comme patronne à l’ONF ou à la SODEC et tout le monde l’a vue ou entendue à la radio ou à la télé comme animatrice, commentatrice ou invitée, voire, pendant un très court temps, comme politicienne péquiste. En fait, Monique Simard, habite l’inconscient collectif québécois depuis une quarantaine d’années.
Et, à l’en croire, elle entend y demeurer pendant bien des années encore.
Bon visionnement.
Compléments à l’émission
Voix syndicale du progrès social, modèle pour les femmes du Québec
Monique Simard qui, jusqu’ici, a connu six vies professionnelles, s’apprête à en entamer une septième. Effectivement, elle entend devenir experte en découvrabilité, un art complexe et peu connu dont l’application permet de capter l’attention dans la cyber-vie culturelle.
Gamine brillante élevée dans les valeurs essentielles par des parents libre-penseurs, des valeurs garantissant l’épanouissement personnel, elle fut tour à tour conseillère syndicale et première vice-présidente à la CSN, animatrice radio-télé, politicienne au PQ, productrice chez Virage, Directrice du Programme français de l’ONF et P.D.G. de la SODEC.
Bien que patronne pendant le dernier quart de siècle, Monique Simard n’a jamais pour autant renié son passé syndical, Elle se dit toujours aussi féministe et progressiste qu’à l’époque où elle formait équipe avec Gérald Larose. Elle est une fervente croyante en un système d’éducation public et déplore le fait que nos leaders d’opinion ne s’impliquent pas dans cette méga-cause sociale qu’est la conciliation travail-famille.
Craignant la réponse de cette femme d’action, une réponse vive, l’intervieweur n’a pas eu le courage de lui demander si elle envisageait prendre sa retraite …
Commentez cet article